HomeFranceREPORTAGE. “J’ai cru que j’allais devoir renoncer à me soigner, car c’était vraiment trop cher”, les Franciliens renoncent de plus en plus aux soins
REPORTAGE. “J’ai cru que j’allais devoir renoncer à me soigner, car c’était vraiment trop cher”, les Franciliens renoncent de plus en plus aux soins
September 19, 2024
REPORTAGE. “J’ai cru que j’allais devoir renoncer à me soigner, car c’était vraiment trop cher”, les Franciliens renoncent de plus en plus aux soins
by chou-coco
1 comment
>*le délai d’obtention d’un rendez-vous sont les motifs avancés*
Dans certains endroits c’est plus simple, ya pas de médecin / spécialiste ou ceux présents disent “on ne prend pas de nouveaux patients”, donc pas de délai pour un RDV puisque pas de RDV. Evidemment dans certains cas ils mentent, ils prennent des nouveaux patients mais faut juste être pistonné, c’est désolant. L’argent ou la localisation sont pas les seuls motifs de différences d’accès au soin, maintenant la classe sociale est directement un motif de discrimination, tout le monde n’a pas d’ami médecin dans ses contacts. Par contre tout le monde est prélevé sur ses impôts pour financer la santé, ça ya pas de soucis. J’imagine le consentement à l’impôt chez ceux qui vivent dans des endroits où il n’y a plus de généralistes et plus de service d’urgence à l’hôpital.
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>*le délai d’obtention d’un rendez-vous sont les motifs avancés*
Dans certains endroits c’est plus simple, ya pas de médecin / spécialiste ou ceux présents disent “on ne prend pas de nouveaux patients”, donc pas de délai pour un RDV puisque pas de RDV. Evidemment dans certains cas ils mentent, ils prennent des nouveaux patients mais faut juste être pistonné, c’est désolant. L’argent ou la localisation sont pas les seuls motifs de différences d’accès au soin, maintenant la classe sociale est directement un motif de discrimination, tout le monde n’a pas d’ami médecin dans ses contacts. Par contre tout le monde est prélevé sur ses impôts pour financer la santé, ça ya pas de soucis. J’imagine le consentement à l’impôt chez ceux qui vivent dans des endroits où il n’y a plus de généralistes et plus de service d’urgence à l’hôpital.