Risacher a déjà l’équipe de France et l’Euro 2025 «dans un coin de la tête»

À la veille du début de la saison NBA, sa première, le numéro 1 de la Draft 2024 se voit déjà en équipe de France.

Zaccharie Risacher en équipe de France ? Le staff de Vincent Collet aurait bien aimé le convier au moins pour la préparation en vue des Jeux olympiques, l’été dernier. Le nouveau sélectionneur Freddy Fauthoux n’aura pas de question à se poser : le numéro 1 de la dernière Draft NBA piaffe déjà d’impatience à l’idée de retrouver les Bleus. «Ce serait un rêve de représenter mon pays au plus haut niveau, a-t-il indiqué ce lundi, lors d’une visio-conférence avec les journalistes français, depuis Atlanta. J’ai eu l’expérience de le faire en février, lors des fenêtres, c’était un sentiment spécial».

Le fils de Stéphane Risacher, 124 sélections, avait en effet eu l’occasion de jouer face à la Croatie, dans un match qualificatif pour l’Euro 2025. C’est évidemment sans lui et les autres joueurs NBA que les Tricolores tenteront de composter leur billet pour le prochain championnat d’Europe en novembre, contre Chypre (21 et 24 novembre à Nicosie et Poitiers).

Je fais toujours mon possible pour réaliser mes rêves et atteindre mes objectifs. L’équipe de France en fait partie.

Zaccharie Risacher

L’intéressé ne laisse en tout cas planer aucun doute quant à sa disponibilité pour l’été 2025. «Je suis habitué avec les sélections de jeunes, de grosses préparations, des étés loin des familles et des proches. Je sais à quoi m’attendre et je suis super content de pouvoir prétendre à ça. Ce serait un rêve de gamin. Me connaissant, je fais toujours mon possible pour réaliser mes rêves et atteindre mes objectifs. L’équipe de France en fait partie. C’est forcément dans un coin de la tête même si je suis en NBA». Et d’ajouter, au sujet de l’Euro 2025 : «J’y pense. Là, je suis concentré sur la NBA mais évidemment que l’Euro est dans un coin de la tête.» Rappelons que Zaccharie Risacher, 19 ans, a évolué sous les ordres d’un certain Freddy Fauthoux à Bourg-en-Bresse. Pas de problème d’adaptation en vue avec le staff…

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