Peut être que certains romans ne sont pas “gachés” si tu connais des points clefs de l’intrigue a l’avance.
Peut être qu’on en fait un peu trop avec cette notion de spoile (non pardon, “divulgachâge”)
Ouais c’est comme la Bible, tu peux même pas te promener dans le village sans te faire divulgâcher la fin…
Et encore pire quand tu rentres dans une église…
Ouaip ça m’est arrivé sur fahrenheit 451. Un peu la haine, depuis je ne lis plus les préfaces.
Ça me rappelle un moment assez récent où je lisais un recueil de nouvelles de maupassant et le mec qui a écrit la préface divulgache littéralement la mort d’un personnage, qui se produit une page plus tard, dans l’annotation. Quel connard me suis-je dit.
Divulgâchage : même en ayant l’info tu ne peux pas te dire qu’il y aurait un coup de baillonnette dans l’oreille du père pour une histoire de refus de priorité de calèche !
Se faire divulgacher c’est pas si grave, il y a même des études qui tendraient à démontrer que l’on apprécie plus une œuvre lorsqu’on a été divulgacher.
Ça semble contre-intuitif, cependant cela permet d’être plus attentif à l’histoire elle-même, que d’être concentré sur le dénouement.
Exemple : la fin de *Lost*, de GOT, on s’en fout, surtout vu leur qualité relativement aux premières saisons
Ah oui, c’est toujours un plaisir ça, où les bonnes notes de bas de page qui racontent la fin.
8 comments
Peut être que certains romans ne sont pas “gachés” si tu connais des points clefs de l’intrigue a l’avance.
Peut être qu’on en fait un peu trop avec cette notion de spoile (non pardon, “divulgachâge”)
Ouais c’est comme la Bible, tu peux même pas te promener dans le village sans te faire divulgâcher la fin…
Et encore pire quand tu rentres dans une église…
Ouaip ça m’est arrivé sur fahrenheit 451. Un peu la haine, depuis je ne lis plus les préfaces.
Ça me rappelle un moment assez récent où je lisais un recueil de nouvelles de maupassant et le mec qui a écrit la préface divulgache littéralement la mort d’un personnage, qui se produit une page plus tard, dans l’annotation. Quel connard me suis-je dit.
Divulgâchage : même en ayant l’info tu ne peux pas te dire qu’il y aurait un coup de baillonnette dans l’oreille du père pour une histoire de refus de priorité de calèche !
Se faire divulgacher c’est pas si grave, il y a même des études qui tendraient à démontrer que l’on apprécie plus une œuvre lorsqu’on a été divulgacher.
Ça semble contre-intuitif, cependant cela permet d’être plus attentif à l’histoire elle-même, que d’être concentré sur le dénouement.
Exemple : la fin de *Lost*, de GOT, on s’en fout, surtout vu leur qualité relativement aux premières saisons
Ah oui, c’est toujours un plaisir ça, où les bonnes notes de bas de page qui racontent la fin.
Hey !
Pourquoi tu nous dit ce qui se passe comme ça
J’ai pas encore lu, salopiot