Abbé Pierre : les archives de l’Église dressent le portrait d’un «grand malade mental»



Abbé Pierre : les archives de l’Église dressent le portrait d’un «grand malade mental»

by JeHaisLesCatGifs

12 comments
  1. L’article est intéressant. Quant aux commentaires…alors soit c’est la faute à la gôooooche soit les médias, voilà. Visiblement on a les mêmes crétins qu’aux USA.

  2. Le cas de l’abbé Pierre, c’est quand même un retournement de réputation à 180° comme on n’en a pas connu beaucoup.

  3. Dans chaque affaire de ce genre, et celle là est quand même énorme, on s’étonne toujours du nombre gigantesque de personnes qui étaient au courant, et qui n’ont rien fait.

    Bienvenu dans un monde de merde!

  4. Et dire qu’on utilisait la phrase “je ne suis pas l’abbé Pierre non plus !”… Définitivement pas

  5. La gooooche la gooooche la gooooche… Parce que les violeurs de droite ça existe pas hein?

    Et ceux qui font des pirouettes pour défendre les agresseurs sexuels dans leurs rangs c’est rarement la gauche.

  6. Petit florilèges des commentaires du Figaro:

    *”Qu’en dit Bernard Kouchner ? Rien remarqué? Il est vrai qu’il ne remarquait pas grand-chose, à commencer par sa familia grande.”*

    *”Soyons sérieux : l’Abbé Pierre était attiré par les femmes. Où est le problème? Faut-il que les curés renoncent aux femmes et s’en prennent aux hommes et aux petits enfants?”*

    *”On attend la même campagne des médias contre Mitterand. Le PS doit bien avoir des archives à ouvrir ?”*

    *”Il n’était pas complètement mauvais l, il était aussi un pro P@l’estinien comme tant d’autres saints du LFI”*

    *”L’abbé était une icône de la gauche ceci explique cela Quant à la position de l’église elle est indéfendable qu’en pense le pape François autre gauchiste”*

    Mon préféré, pour la fin.

    “*Et en plus en 1954 il faisait pas froid du tout.*”

  7. J’ai fait l’erreur de lire les commentaires. Passez-moi de la javel mes yeux ont besoin d’un bon nettoyage

  8. >s’il guérit à l’orienter «*vers un ministère de dévouement silencieux, au sein d’un pays sous-alimenté, dans un hôpital de brousse, dans un village de lépreux*»

    En somme: “qu’il aille violer des noirs, ça c’est pas grave”.

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