“Quand ça s’arrête, ça s’arrête net”: 3 mois après la dissolution, ces ex-députés racontent leur difficile retour à l’emploi



“Quand ça s’arrête, ça s’arrête net”: 3 mois après la dissolution, ces ex-députés racontent leur difficile retour à l’emploi

by OrdinaryMidnight5

12 comments
  1. >”Dans quelques années, on n’aura que des gens qui acceptent de devenir député parce qu’ils savent que quand c’est fini, ils reprennent leur vie d’avant. On se prive de beaucoup de talents”, s’agace Patrick Vignal.

    Il me semble qu’historiquement les parlementaires ont toujours été en grande majorité des gens avec une roue de secours toute prête en cas de défaite électorale (professions libérales, hauts fonctionnaires en disponibilité, ou cumul des mandats).

  2. Oh, le difficile retour à la réalité que vit pourtant la très grande majorité des français !

    Comme c’est étonnant !

  3. “133 députés, soit près d’un quart des élus du Palais-Bourbon, ont perdu leur mandat le 13 juillet dernier. Une grande partie d’entre eux pointent toujours au chômage.”

    Putain d’assistés !

  4. Oh les choubidous

    Ils étaient moins tristounes pour supporter un gouvernement qui passait tour au 49 3

  5. Venant de gens qui ont voté pour agrandir les trous des filets sociaux censés être présents dans ces cas là ou pire les retirer, c’est parfaitement cocasse de les voir se fracasser parce que le filet n’est plus là.

  6. Aujourd’hui les gens se gaussent parce que gnagnagna c’est des députés qu’on aime pas. Mais c’est pour ce cas de figure précis qu’un système d’indemnités à part est nécessaire, bien qu’il soit tant décrié :

    Si les seuls qui peuvent se présenter sont des professions libérales, ou des gens plein de thunes qui ont pas à avoir peur d’une défaite électorale, et bien ça participe à ne laisser que ceux ci se présenter. L’ouvrier, l’employé de bureau ou même le cadre sup n’iront plus, parce qu’ils savent que si ils perdent, ils risquent une situation difficile par la suite

  7. C’est vrai que c’est drôle de voir ces donneurs de leçons face à la réalité.
    Cependant ce système est un frein pour les pauvres pour se lancer en politique et ça c’est quand même un gros problème. La députée LFI (probablement la seule de l’article qui n’est pas issue d’une forme de bourgeoisie) risque de vraiment galérer.

  8. Poste : Député.e de la République

    Durée de la mission : 5 à 6 ans

    Activités réalisées :
    – appuyer sur le bon bouton conformément aux instructions livrées par email
    – faire des apparitions à l’Assemblée Nationale en étant bien habillé.e

    Résultat obtenus :
    – le chef était content

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