VU du 19/10/2024 : Praud climatosceptique



VU du 19/10/2024 : Praud climatosceptique

Un regard impertinent et libre, orchestré par Patrick Menais et son équipe, sur le monde de l’image.

En avant-première du lundi au samedi à 17h00 sur Facebook, Twitter et YouTube.

Du lundi au samedi à 20h00 sur France 5.

https://www.facebook.com/vufrancetv

21 comments
  1. Praud a raison et l'avenir nous le prouvera 😉 Arrêtons de suivre l'idée la plus reprise, c'est du matraquage de cerveau , à force on y croit tous.

  2. Ce manichéisme de la chaîne VU est ridicule sur tous les sujets ! Juste pour faire des vus si j ose dire. La vérité est ailleurs le changement climatique est provoqué par l’homme mais il y a eu des périodes de réchauffement et de glaciations avant la période industrielle l’un n’efface pas l’autre et on en reparle dans 100.000 ans si il y a encore des humains sur terre

  3. ce droitardé argentin, comme beaucoup de drotardés, a pompé tout son discours dans des séries bas de gamme. Le droitardisme détruit nos pays, réveillez vous !

  4. Pascal Praud est tellement court d'esprit, tetu, completement arrieré. Pour ce qui est des migrants , quand ils sont beaucoup trop sur une embarcation, ils finissent par couler. La France cest pareil si trop de monde rentre

  5. Oui, Milei s'est illustré dans un TikTok où il arrachait en disant "Afuera!" des étiquettes de tous les ministères qui lui semblaient inutiles, et c'est quoi son bilan à présent ? On pourrait croire qu'il a juste fait le ménage, mais en réalité, c'est un peu plus dramatique que ça.

    Sous sa présidence, la pauvreté a explosé à 52,9 %, soit plus d'un Argentin sur deux vivant sous le seuil de pauvreté, un chiffre qui n’avait pas été atteint depuis la crise de 2001. Oui, bravo pour la réduction des ministères, mais pendant qu’il supprimait les étiquettes, il a aussi laissé des millions d’Argentins sur le carreau. Et que dire de l’extrême pauvreté, qui atteint maintenant 18,1 % de la population ? On n’est pas juste en train de parler de couper dans le gras ; on parle de vies brisées et de familles qui peinent à mettre de la nourriture sur la table.

    Son mantra du "zéro déficit" a entraîné des coupes drastiques dans les dépenses publiques et une dévaluation brutale du peso. Résultat ? Une récession annoncée et une hausse du chômage à 7,7 %. C'est un tour de magie dont on se passerait bien : faire disparaître des ministères pour voir disparaître aussi des emplois et des aides sociales.

    Alors, oui, il a peut-être voulu jouer à l'apprenti sorcier de l’économie, mais les conséquences de ses actions sont très réelles et douloureuses. Son approche, qu'il qualifie de "thérapie de choc", ressemble davantage à un choc à 220 volts pour des gens qui ont déjà le nez sous l’eau. Peut-être qu'il devrait échanger ses "Afuera" contre une vraie réflexion sur les politiques sociales, parce qu'à ce rythme-là, le seul héritage qu'il laisse, c'est un pays encore plus divisé et désespéré.

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