Seule Française qualifiée en seconde manche ce samedi lors du géant de Sölden, Clara Direz se contente de la 19e place. Pas de quoi sauter au plafond mais c’est déjà ça.

« J’ai enlevé un sac de 100 kg que j’avais sur les épaules. » Comme tous les ans pour l’ouverture, Clara Direz était enfoncée dans le stress. Elle s’est libérée lors de la première manche en réalisant le 18e chrono. « Je suis dans le tas », disait la Savoyarde des Saisies à la mi-temps. Sur le second tracé, pas de remontée au programme. Mais juste une 19e place finale, son meilleur résultat à Sölden où sa 20e place de l’an passé était son unique classement pour la classique inaugurale.  

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« Je n’ai pas trouvé les clés »

« Il n’y a pas eu de miracle, je m’attendais à ça aussi, dira-t-elle après la course, les yeux embués. Il y a eu de très bonnes portions mais le mur je ne sais pas le skier. Ça fait 11 ans que je viens, 11 ans que je ne trouve pas la solution et que je n’ai pas trouvé les clés. Ça reste mon meilleur résultat à Sölden, je sais quels axes j’ai à travailler pour la suite. Ce qui est cool, c’est qu’il n’y a pas d’aussi longs murs plus tard (à Kronplatz). Ce n’est ni une bonne course, ni une mauvaise course. Il y a maintenant un mois pour bosser ce qui n’était pas bien. »

Prochains rendez-vous outre-Atlantique, en décembre à Killington et Tremblant, où elle avait pris la 4e place l’an passé.