Ces appareils complexes étaient réputés pour : – Des pannes fréquentes nécessitant des réparations coûteuses à 350 $ par intervalle de service de 15 min – Un processus de nettoyage obligatoire de quatre heures – Des verrouillages logiciels déclenchant des messages d’erreur cryptiques – Des restrictions permettant uniquement aux techniciens agréés de Taylor d’effectuer les réparations
Bien que cette décision représente un progrès, des limitations persistent : – L’exemption ne s’applique qu’aux équipements de préparation alimentaire au niveau de la vente au détail – La distribution d’outils de réparation reste illégale, ce qui pourrait entraver la mise en œuvre pratique – Les franchises doivent développer leurs propres méthodes pour contourner les verrous logiciels
Mon employeur a passe un marche avec un prestataire externe pour les machines à café. Résultat on a des monstres Nespresso à écran tactile ultralumineux qui distribuent des dosettes en aluminium. Ça plante, ça se bloque, et il faut ouvrir un ticket à chaque fois pour demander une intervention. On rêve de les hacker.
Voilà, commentaire inutile mais fallait que ça sorte.
Aux États-Unis.
On s’en fout un peu des lois américaines, non ?
Pour nous ce qui est important c’est de savoir si c’était déjà couvert par la directive européenne sur le droit à la réparation
4 comments
Et les équipements John Deer?
Ces appareils complexes étaient réputés pour :
– Des pannes fréquentes nécessitant des réparations coûteuses à 350 $ par intervalle de service de 15 min
– Un processus de nettoyage obligatoire de quatre heures
– Des verrouillages logiciels déclenchant des messages d’erreur cryptiques
– Des restrictions permettant uniquement aux techniciens agréés de Taylor d’effectuer les réparations
Bien que cette décision représente un progrès, des limitations persistent :
– L’exemption ne s’applique qu’aux équipements de préparation alimentaire au niveau de la vente au détail
– La distribution d’outils de réparation reste illégale, ce qui pourrait entraver la mise en œuvre pratique
– Les franchises doivent développer leurs propres méthodes pour contourner les verrous logiciels
Mon employeur a passe un marche avec un prestataire externe pour les machines à café. Résultat on a des monstres Nespresso à écran tactile ultralumineux qui distribuent des dosettes en aluminium.
Ça plante, ça se bloque, et il faut ouvrir un ticket à chaque fois pour demander une intervention.
On rêve de les hacker.
Voilà, commentaire inutile mais fallait que ça sorte.
Aux États-Unis.
On s’en fout un peu des lois américaines, non ?
Pour nous ce qui est important c’est de savoir si c’était déjà couvert par la directive européenne sur le droit à la réparation
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